Maelle

J’allume les lumières, la musique, je rêve. Sous mon plafond blanc, les idées noires défilent.

Chambre confinée

Je suis censée faire mes devoirs, mais j’allume les lumières, la musique, je rêve. Sous mon plafond blanc, les idées noires défilent. Et voilà la tristesse et la mélancolie qui tombent sur moi et m’envahissent. Elles reviennent. À leur arrivée, les pensées joyeuses disparaissent, s’évanouissent. Je pleure, je ne fais que pleurer. C’est pénible. Il n’y a pas plus nostalgique, plus morose, plus sinistre que moi en ce moment. Je me sens d’humeur changeante. Fragile. Lunatique. J’ai appris pendant ces mois d’isolement à m’attacher à cette pièce, mais au final rien n’a changé.