Maxence

Souvent de ma fenêtre, je tire sur la route avec mon pistolet à billes. Ça me défoule. Je fais attention, je ne suis pas idiot, mais j'ai besoin de tirer, de taper dans les murs aussi, parfois, quand la colère me déborde.

La chambre de la colère

De la fenêtre de ma chambre, je vois la cabane perchée dans l’arbre de mon jardin, que j’avais construite avec mon père quand j’étais petit.

J’aime cette cabane.

Souvent de ma fenêtre, je tire sur la route avec mon pistolet à billes. Ça me défoule. Je fais attention, je ne suis pas idiot, mais j’ai besoin de tirer, de taper dans les murs aussi, parfois, quand la colère me déborde. Quand je vais à la chasse avec des copains ou avec mon grand-père, pareil, ça me défoule.

  • En temps de confinement… Pendant le confinement, dans ma chambre j’aime bien me décontracter, lire dans ces cabanes que je me fabrique sur ou sous mon lit. Je m’occupe. Je joue au ping-pong, je saute sur le trampoline de mon jardin, je jardine, je joue à la console, je regarde la télé et je fais des jeux de société…